000_Matières Vives
Lieu : France, Europe
Programme : Recherche
MOA : -
Surface : -
Budget : -
Mission: -
Statut: -
Année: -
Travaux: -
Lieu : France, Europe
Programme : Recherche
MOA : -
Surface : -
Budget : -
Mission: -
Statut: -
Année: -
Travaux: -
« Matières vives » est un projet de recherche ayant pour objectif de rencontrer des acteurs des filières de matériaux « bio, géo et éco-sourcés » afin de mieux comprendre et diffuser leurs savoir-faire.
Au cours des dernières décennies, le matériau devait être rapide à mettre en œuvre, flexible, pérenne et apporter des réponses multiples tout en étant unique. Le matériau qui composait alors nos murs, nos toits, nos sols était souvent transformé : le béton. Un matériau résistant qui a permis d’ériger des chefs-d’œuvre architecturaux, lesquels influencent encore aujourd’hui nos villes et nos vies. C’est une époque moderne qui nous précède, où les espaces ont été repensés, parfois sublimés, mais où les « matières vives » ont été oubliées.
Aujourd’hui, nous assistons à une volonté collective, au sein du milieu de la construction, de redécouvrir des matériaux « frugaux », « simples », « sobres ». Des matériaux qui ont servi à construire des architectures vernaculaires.
La réglementation environnementale 2020 indique d’ailleurs, parmi les objectifs pour « les bâtiments de demain », qu’il faut « construire aussi souvent que possible, puis systématiquement, avec du bois et des matériaux biosourcés », et également « prendre en compte l’ensemble des émissions du bâtiment tout au long de son cycle de vie, dès la construction ».
« Le biosourcé », « le cycle », « le vivant » sont des notions avec lesquelles les architectes, maîtres d’œuvre, maîtres d’ouvrage et entreprises doivent aujourd’hui composer pour construire. Ce sont des notions qui doivent nous accompagner pour bâtir « les villes de demain ».
Cependant, si la prise de conscience des problématiques environnementales a lentement modifié les modes de conception des architectes, le matériau le plus utilisé dans le milieu du BTP en 2020 restait le béton.
L’étude Matières vives a commencé en 2021, pendant la pandémie de COVID-19. Il s’agit du premier projet de l’atelier : une découverte de matériaux vivants, recyclés, réemployés, cherchant à documenter ce qui constitue des ressources disponibles à considérer.
Au cours des dernières décennies, le matériau devait être rapide à mettre en œuvre, flexible, pérenne et apporter des réponses multiples tout en étant unique. Le matériau qui composait alors nos murs, nos toits, nos sols était souvent transformé : le béton. Un matériau résistant qui a permis d’ériger des chefs-d’œuvre architecturaux, lesquels influencent encore aujourd’hui nos villes et nos vies. C’est une époque moderne qui nous précède, où les espaces ont été repensés, parfois sublimés, mais où les « matières vives » ont été oubliées.
Aujourd’hui, nous assistons à une volonté collective, au sein du milieu de la construction, de redécouvrir des matériaux « frugaux », « simples », « sobres ». Des matériaux qui ont servi à construire des architectures vernaculaires.
La réglementation environnementale 2020 indique d’ailleurs, parmi les objectifs pour « les bâtiments de demain », qu’il faut « construire aussi souvent que possible, puis systématiquement, avec du bois et des matériaux biosourcés », et également « prendre en compte l’ensemble des émissions du bâtiment tout au long de son cycle de vie, dès la construction ».
« Le biosourcé », « le cycle », « le vivant » sont des notions avec lesquelles les architectes, maîtres d’œuvre, maîtres d’ouvrage et entreprises doivent aujourd’hui composer pour construire. Ce sont des notions qui doivent nous accompagner pour bâtir « les villes de demain ».
Cependant, si la prise de conscience des problématiques environnementales a lentement modifié les modes de conception des architectes, le matériau le plus utilisé dans le milieu du BTP en 2020 restait le béton.
L’étude Matières vives a commencé en 2021, pendant la pandémie de COVID-19. Il s’agit du premier projet de l’atelier : une découverte de matériaux vivants, recyclés, réemployés, cherchant à documenter ce qui constitue des ressources disponibles à considérer.