064_Château du Bosc
inscrit au titre des monuments historiques
Eléments protégés :
Les façades et les couvertures (cad. D 229) : inscription par arrêté du 26 mai 1952
Lieu : Masquières, 47
Programme : Centre de vacance
MOA : BNP Paribas
Surface : 287,9 m² SDP
Budget : 453 000 € HT
Mission: Complète
Statut: En cours
Année: 2024
Travaux: Restauration, mise en accessibilité
inscrit au titre des monuments historiques
Eléments protégés :
Les façades et les couvertures (cad. D 229) : inscription par arrêté du 26 mai 1952
Lieu : Masquières, 47
Programme : Centre de vacance
MOA : BNP Paribas
Surface : 287,9 m² SDP
Budget : 453 000 € HT
Mission: Complète
Statut: En cours
Année: 2024
Travaux: Restauration, mise en accessibilité
Le château, situé sur un plateau calcaire près de la route de Cahors, témoigne de plusieurs phases de construction et remaniements successifs. Intégrant des éléments datant du XIVe siècle, dont des caves voûtées, et une tour du XVIe siècle issue du repaire de la famille de Bosc, il fut enrichi au XVIIe siècle par la famille Laduguie avec un corps de logis et une seconde tour. Sous Pierre Romain Nicolas de Lisleferme, des travaux de symétrisation et d'agrandissement ont été entrepris après 1765, comprenant un jardin aujourd’hui disparu aux abords du site. Le château est resté dans la famille jusqu'au milieu du XXe siècle, avant de servir de colonie de vacances après la Seconde Guerre mondiale. Des rénovations au XXe siècle ont inclus le retrait de l'enduit extérieur et le cimentage des joints.
Le projet actuel se concentre sur la mise en accessibilité du château et de ses abords, notamment par la création de cheminements dans la cour. La réflexion porte essentiellement sur les extérieurs, en particulier la cour actuellement goudronnée. Aucun plan d'archive ne mentionne une cour plantée ou une configuration géométrique spécifique à respecter il semble qu'elle ait été recouverte de graviers calcaires jusqu’au XXe s. La désimperméabilisation du sol, la gestion des eaux et la mise en lumière de l'édifice sont des points majeurs de l'étude. Le projet intègre également des évocations historiques pour valoriser l'histoire et les anciennes dispositions du château, afin de le rendre accessible et de mettre en valeur son patrimoine.
Par ailleurs, une étude approfondie et des travaux de restauration complémentaires seraient nécessaires pour redonner toute sa lisibilité au château et à ses façades, aujourd'hui détériorées par des joints au ciment.
Le projet actuel se concentre sur la mise en accessibilité du château et de ses abords, notamment par la création de cheminements dans la cour. La réflexion porte essentiellement sur les extérieurs, en particulier la cour actuellement goudronnée. Aucun plan d'archive ne mentionne une cour plantée ou une configuration géométrique spécifique à respecter il semble qu'elle ait été recouverte de graviers calcaires jusqu’au XXe s. La désimperméabilisation du sol, la gestion des eaux et la mise en lumière de l'édifice sont des points majeurs de l'étude. Le projet intègre également des évocations historiques pour valoriser l'histoire et les anciennes dispositions du château, afin de le rendre accessible et de mettre en valeur son patrimoine.
Par ailleurs, une étude approfondie et des travaux de restauration complémentaires seraient nécessaires pour redonner toute sa lisibilité au château et à ses façades, aujourd'hui détériorées par des joints au ciment.