Atelier Fasea
︎Architecture
︎Images
︎Recherches
︎Informations
Index
000_Matières vives
005_Lorgements cycle mur
006_Pavillon MAV
007_Longère Epiniac
008_Etxea Arcangues
021_Sotoa
024_Abrig Herm
027_L’estanquet
038_Une échoppe deux volumes
040_Du domo
049_Etxea Del Carril
055_Maysou Caubous
060_Etxea Saint-Pée-sur-Nivelle
062_Burèu BNP
063_Logements Maquis de payolle
064_Château du Bosc
067_Ecurie du palais Archiépiscopal
068_Quartier canonial de sens
000_Matières Vives
Lieu : France, Europe
Programme : Recherche
MOA : -
Surface : -
Budget : -
Mission: -
Statut: -
Année: -
Travaux: -
Lieu : France, Europe
Programme : Recherche
MOA : -
Surface : -
Budget : -
Mission: -
Statut: -
Année: -
Travaux: -
« Matières vives » est un projet de recherche ayant pour objectif de rencontrer des acteurs des filières de matériaux « bio, géo et éco-sourcés » afin de mieux comprendre et diffuser leurs savoir-faire.
Au cours des dernières décennies, le matériau devait être rapide à mettre en œuvre, flexible, pérenne et apporter des réponses multiples tout en étant unique. Le matériau qui composait alors nos murs, nos toits, nos sols était souvent transformé : le béton. Un matériau résistant qui a permis d’ériger des chefs-d’œuvre architecturaux, lesquels influencent encore aujourd’hui nos villes et nos vies. C’est une époque moderne qui nous précède, où les espaces ont été repensés, parfois sublimés, mais où les « matières vives » ont été oubliées.
Aujourd’hui, nous assistons à une volonté collective, au sein du milieu de la construction, de redécouvrir des matériaux « frugaux », « simples », « sobres ». Des matériaux qui ont servi à construire des architectures vernaculaires.
La réglementation environnementale 2020 indique d’ailleurs, parmi les objectifs pour « les bâtiments de demain », qu’il faut « construire aussi souvent que possible, puis systématiquement, avec du bois et des matériaux biosourcés », et également « prendre en compte l’ensemble des émissions du bâtiment tout au long de son cycle de vie, dès la construction ».
« Le biosourcé », « le cycle », « le vivant » sont des notions avec lesquelles les architectes, maîtres d’œuvre, maîtres d’ouvrage et entreprises doivent aujourd’hui composer pour construire. Ce sont des notions qui doivent nous accompagner pour bâtir « les villes de demain ».
Cependant, si la prise de conscience des problématiques environnementales a lentement modifié les modes de conception des architectes, le matériau le plus utilisé dans le milieu du BTP en 2020 restait le béton.
L’étude Matières vives a commencé en 2021, pendant la pandémie de COVID-19. Il s’agit du premier projet de l’atelier : une découverte de matériaux vivants, recyclés, réemployés, cherchant à documenter ce qui constitue des ressources disponibles à considérer.
Au cours des dernières décennies, le matériau devait être rapide à mettre en œuvre, flexible, pérenne et apporter des réponses multiples tout en étant unique. Le matériau qui composait alors nos murs, nos toits, nos sols était souvent transformé : le béton. Un matériau résistant qui a permis d’ériger des chefs-d’œuvre architecturaux, lesquels influencent encore aujourd’hui nos villes et nos vies. C’est une époque moderne qui nous précède, où les espaces ont été repensés, parfois sublimés, mais où les « matières vives » ont été oubliées.
Aujourd’hui, nous assistons à une volonté collective, au sein du milieu de la construction, de redécouvrir des matériaux « frugaux », « simples », « sobres ». Des matériaux qui ont servi à construire des architectures vernaculaires.
La réglementation environnementale 2020 indique d’ailleurs, parmi les objectifs pour « les bâtiments de demain », qu’il faut « construire aussi souvent que possible, puis systématiquement, avec du bois et des matériaux biosourcés », et également « prendre en compte l’ensemble des émissions du bâtiment tout au long de son cycle de vie, dès la construction ».
« Le biosourcé », « le cycle », « le vivant » sont des notions avec lesquelles les architectes, maîtres d’œuvre, maîtres d’ouvrage et entreprises doivent aujourd’hui composer pour construire. Ce sont des notions qui doivent nous accompagner pour bâtir « les villes de demain ».
Cependant, si la prise de conscience des problématiques environnementales a lentement modifié les modes de conception des architectes, le matériau le plus utilisé dans le milieu du BTP en 2020 restait le béton.
L’étude Matières vives a commencé en 2021, pendant la pandémie de COVID-19. Il s’agit du premier projet de l’atelier : une découverte de matériaux vivants, recyclés, réemployés, cherchant à documenter ce qui constitue des ressources disponibles à considérer.
005_Logements cycle mur
Lieu : Rungis, 94
Programme : 63 Logements, espaces communs
MOA : ICADE
Surface : NC
Budget : NC
Mission: Concours (finaliste ︎)
Statut: Terminé
Année: 2021
Travaux: Construction neuve
Lieu : Rungis, 94
Programme : 63 Logements, espaces communs
MOA : ICADE
Surface : NC
Budget : NC
Mission: Concours (finaliste ︎)
Statut: Terminé
Année: 2021
Travaux: Construction neuve
Cycle Mur est un projet de logement résilient, conçu pour s’adapter à son environnement climatique, social et écologique. Il repose sur un principe architectural simple : un mur épais et multifonction, structurant le logement et intégrant les réseaux, les espaces humides, et la gestion des déchets.
Ce mur habité est composé de briques de terre recyclée et d’un vide technique central pour les réseaux (eaux, électricité, déchets triés par code couleur). Il favorise la responsabilisation des habitants au tri sélectif. Les eaux usées sont traitées par phytoépuration dans des jardins filtrants (roseaux, joncs...), puis chauffées via un lit de compost par méthanisation.
Le mur accueille aussi de la végétation pour rafraîchir naturellement le logement. En toiture, des panneaux photovoltaïques réduisent la consommation énergétique.
Chaque logement s’organise entre deux murs habités, générant un espace central flexible en bois avec cloisons mobiles, modulable selon les besoins (salon, chambre, etc.).
Le prototype, adapté à la parcelle de Rungis, tient compte du PLU, de la végétation et de l’ensoleillement, avec une implantation nord-sud et un réseau d’eau partagé entre les murs.
Ce mur habité est composé de briques de terre recyclée et d’un vide technique central pour les réseaux (eaux, électricité, déchets triés par code couleur). Il favorise la responsabilisation des habitants au tri sélectif. Les eaux usées sont traitées par phytoépuration dans des jardins filtrants (roseaux, joncs...), puis chauffées via un lit de compost par méthanisation.
Le mur accueille aussi de la végétation pour rafraîchir naturellement le logement. En toiture, des panneaux photovoltaïques réduisent la consommation énergétique.
Chaque logement s’organise entre deux murs habités, générant un espace central flexible en bois avec cloisons mobiles, modulable selon les besoins (salon, chambre, etc.).
Le prototype, adapté à la parcelle de Rungis, tient compte du PLU, de la végétation et de l’ensoleillement, avec une implantation nord-sud et un réseau d’eau partagé entre les murs.
006_Pavillon Matières vives
Lieu : Versailles, 78
Programme : Pavillon scénographie
MOA : BAP, Biennale d’architecture et paysage
Surface : 25 m²
Budget : 15 000 € HT
Mission: Concour
Statut: Terminé
Année: 2022
Travaux: Scénographie
Lieu : Versailles, 78
Programme : Pavillon scénographie
MOA : BAP, Biennale d’architecture et paysage
Surface : 25 m²
Budget : 15 000 € HT
Mission: Concour
Statut: Terminé
Année: 2022
Travaux: Scénographie
Le pavillon est conçu pour la Biennale d'architecture et de paysage de Versailles. Il est lié à l'étude Matières vives.
Le projet propose 7 ateliers sur 7 matériaux différents, avec deux parties principales :
À la fin des 7 ateliers, les éléments réalisés seront assemblés pour créer un pavillon ou un abri.
Le pavillon sera un atelier/abri en lien avec le Fablab, construit à partir des matériaux explorés : paille, terre crue (BTC, pisé), chanvre, granit, et bois provenant de scieries locales. Le pavillon, préfabriqué en amont, aura une surface de 6,50m x 3,90m x 3m et servira aussi de matériathèque pour stocker les échantillons.
Le projet est organisé en trois zones :
Chaque atelier dure de 1 à 2 jours, avec 10 à 15 participants, principalement des étudiants en architecture et paysage.
Le projet propose 7 ateliers sur 7 matériaux différents, avec deux parties principales :
- Savoir : Introduction au matériau à travers des échantillons, des photos, dessins, et fiches techniques, pour comprendre le processus de production et les exigences normatives.
- Faire : Mise en œuvre pratique des matériaux avec des plans d'exécution, sous la supervision des entreprises et d'artisans, afin de construire un élément architectural (mur, sol, toit, etc.).
À la fin des 7 ateliers, les éléments réalisés seront assemblés pour créer un pavillon ou un abri.
Le pavillon sera un atelier/abri en lien avec le Fablab, construit à partir des matériaux explorés : paille, terre crue (BTC, pisé), chanvre, granit, et bois provenant de scieries locales. Le pavillon, préfabriqué en amont, aura une surface de 6,50m x 3,90m x 3m et servira aussi de matériathèque pour stocker les échantillons.
Le projet est organisé en trois zones :
- Zone Savoir : Exposition des matériaux et de leur transformation.
- Zone Faire : Espace de travail pour la construction des éléments architecturaux.
- Zone Chantier : Lieu de mise en œuvre des matériaux.
Chaque atelier dure de 1 à 2 jours, avec 10 à 15 participants, principalement des étudiants en architecture et paysage.
07_Longère Epiniac
Lieu : Epiniac, 35
Programme : Réhabilitation d’une maison
MOA : Client privé
Surface : 281 m²
Budget : NC
Mission: ESQ/AP/DET/VISA
Statut: Livré
Année: 2016
Travaux: Réhabilitation
Lieu : Epiniac, 35
Programme : Réhabilitation d’une maison
MOA : Client privé
Surface : 281 m²
Budget : NC
Mission: ESQ/AP/DET/VISA
Statut: Livré
Année: 2016
Travaux: Réhabilitation
La commande portait sur la réhabilitation d'une longère bretonne du XIXe siècle, une typologie architecturale traditionnelle de la région. L’objectif principal était de transformer l’intérieur de cette longère tout en préservant son caractère patrimonial .
Une des priorités du projet a été de décloisonner l’espace intérieur pour créer une circulation plus fluide et ouverte, tout en établissant une relation harmonieuse entre les différents espaces de la maison. En effet, l’enjeu était d’ouvrir la maison sans nuire à l'intégrité de sa structure d’origine. Pour cela, le plancher existant a été découpé de manière stratégique, permettant la création d’une mezzanine et d’un escalier métallique, à la fois léger et fonctionnel, reliant les espaces de nuit, situés à l'étage, aux espaces de jour au rez-de-chaussée. .
Une attention particulière a été accordée à l’apport de lumière naturelle, un aspect essentiel pour la réhabilitation de cette longère. Des fenêtres de toit (velux) ont été installées pour illuminer le salon, qui bénéficie désormais d'une luminosité optimisée. En particulier, la trémie de l’escalier a permis de créer une double et même triple hauteur dans cette zone, accentuant la sensation d’espace et de volume.
L’ensemble du projet a été mené dans une logique de respect de l’identité patrimoniale extérieure. La façade, avec ses pierres apparentes et son toit traditionnel en ardoises, a été soigneusement préservée pour conserver l’authenticité de l'édifice.
Une des priorités du projet a été de décloisonner l’espace intérieur pour créer une circulation plus fluide et ouverte, tout en établissant une relation harmonieuse entre les différents espaces de la maison. En effet, l’enjeu était d’ouvrir la maison sans nuire à l'intégrité de sa structure d’origine. Pour cela, le plancher existant a été découpé de manière stratégique, permettant la création d’une mezzanine et d’un escalier métallique, à la fois léger et fonctionnel, reliant les espaces de nuit, situés à l'étage, aux espaces de jour au rez-de-chaussée. .
Une attention particulière a été accordée à l’apport de lumière naturelle, un aspect essentiel pour la réhabilitation de cette longère. Des fenêtres de toit (velux) ont été installées pour illuminer le salon, qui bénéficie désormais d'une luminosité optimisée. En particulier, la trémie de l’escalier a permis de créer une double et même triple hauteur dans cette zone, accentuant la sensation d’espace et de volume.
L’ensemble du projet a été mené dans une logique de respect de l’identité patrimoniale extérieure. La façade, avec ses pierres apparentes et son toit traditionnel en ardoises, a été soigneusement préservée pour conserver l’authenticité de l'édifice.
08_Etxea Arcangues
Lieu : Arcangues, 64
Programme : Ajout de deux chambres
MOA : Client privé
Surface : 27 m² SDP+ 27m² terrasse
Budget : 87 150 € HT
Mission: Complète
Statut: Livré
Année: 2022
Travaux: Extension
Lieu : Arcangues, 64
Programme : Ajout de deux chambres
MOA : Client privé
Surface : 27 m² SDP+ 27m² terrasse
Budget : 87 150 € HT
Mission: Complète
Statut: Livré
Année: 2022
Travaux: Extension
Le projet consiste en l'ajout de deux chambres à la maison familiale. Cette maison pavillonnaire des années 1960, incrustée dans la pente, dispose de deux étages. Les contraintes du projet étaient liées à la topographie et à l’orientation.
Les etxea basques sont traditionnellement orientées à l’est, vers le levant. L’extension a donc pris le parti de redonner à la maison une façade tournée vers l’est. Un volume semi-enterré est surmonté d'une terrasse couverte.
Le rez-de-jardin accueille deux chambres, tandis que le rez-de-chaussée comprend une terrasse en bois orientée au sud. Cette terrasse est couverte par une toiture soutenue par un mur au nord, qui donne l'illusion d'une pièce fermée vue depuis la rue. Cet espace fonctionne comme un salon d’été, ouvert sur l’extérieur et le paysage.
Les etxea basques sont traditionnellement orientées à l’est, vers le levant. L’extension a donc pris le parti de redonner à la maison une façade tournée vers l’est. Un volume semi-enterré est surmonté d'une terrasse couverte.
Le rez-de-jardin accueille deux chambres, tandis que le rez-de-chaussée comprend une terrasse en bois orientée au sud. Cette terrasse est couverte par une toiture soutenue par un mur au nord, qui donne l'illusion d'une pièce fermée vue depuis la rue. Cet espace fonctionne comme un salon d’été, ouvert sur l’extérieur et le paysage.
